dimanche 6 décembre 2009

Flowterie


La personne qui verra la 1000 ème visite est priée de faire une capture d'écran.

Elle gagnera en ticket pour les autos-tamponneuses de la kermesse de Dunkerque, et une réduc sur sa fricadelle sauce Picadilly.

vendredi 13 novembre 2009

Membre potentiel : Corynne Charby

lundi 26 octobre 2009

Membre potentiel : Jacques Dutronc

samedi 3 octobre 2009

Excluzef : l'épilogue



Mes chers concitoyens,

ce jour est grand, ce jour est mirifique, ce jour est un succédané de potage grecque.
L'Aubépine avait lancé voilà plus d'une semaine un concours, un Flowbepine-Thon.
Le dilemme était pourtant simple : la galéjade dans tous ses états, la bouffonnerie perpétuelle, la rodomontade exquise, la malice précaire, la balourdise sublimée, le canular éloquent, la facétie facile.

illustration d'une fumisterie pratiqué par un écureuil slave :

écureuil

Donc, après cette interlude illustrée, voyons ce qui nous réunit ici-bas : le triomphant.
J'appelle à la tribune le vainqueur : LE PEDONCULE

(applaudissement)

Son Flow :
"En s'associant à Bruno Vandeli lors de l'édition 89 des petits ragondins en fer forgés, Jean Benguigui n'a pas fait fine bouche et s'est vu octroyé un diablotin en mousse de la superficie d'un alexandrin en deccasyllade. Seulement voilà. Chatoyant, haletant, niais, embrigadé et concave à la fois. Ce n'est qu'en présence d'Oligo Elements, d'un druide cliniquement molasson et d'un mégère qu'il se permet d'allier jurisprudence et grand marinier. Quel Chenapan!"
Son gain : une photo de L'Hibiscus moi même en train faire la libellule panée.

Je remercie chaleureusement les participants, merci aux nouvelles recrues, merci aux avocats de la partie adverses, merci aux policiers qui vont venir faire une perquisition chez moi pour "outrage par sms" et pour "harcèlement par texto", pour "Atteinte à la vie de l'érudition".

Le flow est intemporel

illustration de l'intemporel par une artiste néo contemporaine :

google_image

L'Hibiscus

dimanche 6 septembre 2009

Flower Power / Michel Delpêche : Wight is white

Quelques autochtones savourent...

J'crois que tu reluques des reliques bibliques stockées dans la cave de la clinique de Dunkerque. Ta diction pudique tricote des mimiques.
Florilège. Hibiscus 16S.

Les sex pistils pénètre les chicago vulve. Le pull jacquard en quinconce, la mèche germanique, la verve dilettante, l'assonance précise. L'aileron jaunie et l'horloge visière en mire, le goulot pvc
et le bracelet en céramique, le filtre concave et l'opprobre vermeil, le sirop camomille et le baquet en manche courte. Flowbepinement votre.

Les cardinalités abjectes de ton phimosis purulent conceptualise un lardon autochtone varilux. Pédant et roux, limpide et crocodile, dithyrambique et zoulou.

Pour faire tes preuves, et me rejoindre au firmament, essaye de t'anicrocher a la queue d'une comète et périclites pas pendant ce séjour stellaire. J'me présente en 2 palabres : l'hibiscus, le cosmo végétal, membre fondateur du flow et de ses ramifications régional, président de la fédé nord pas de calais, j'me régale de houblon et de brioche doo wap, j'ai foi en l'éternel rhétorique du sens oeucumenique des mots. Je tisse ma toile entre terril et maroilles, tu frises l'apoplexie sparnacienne, va donc camper a boul sur suippes.

Ma bonhomie en cuissardes, ma rengaine au forceps, mon anvenance au spéculum, ma flamekuche emmitouflé, le synopsis peut ainsi s'rencarder sur le velux. Je vous souhaite un très mondain anniversaire, le plafonnier éteint et le genoux rustique en biais.

Si tu vocifères en détonation, fredonne donc un abreuvoir frugale. Ta besogne opiniâtre érige en porte à faux atrabilaire. Taciturne et ribambelle, monticule et vigneron, poulet et mamelon, ton sémaphore sibyllin rationne un quatre quart Ker Cadelac. derechef tu halogène des faucilles incongrues en partance pour Macao. Hercules poirot versus dick tracy, on a pas fais mieux depuis la famille pierrafeux.
J'maroufle tes gencives avec mes phalanges. Demandes pardon.

"des orgues limonaires moudraient des chansons tristes. Des manèges a éjections propulseraient les gens comme des lance pierres au dessus de la ville." [Jean Teulé]

La confiance curative mène les isotopes vers une levure pimbêche et subtile. Soyons alternatifs et appelons nous régis, c'est tellement plus minestrone.

En temps qu'intronisé, ton verrou lexical va sauté. Encastré dans tes méandres fongiformes et polymorphe, l'adjonction notoire de sornettes révèle des cimes non atteintes a la trinité. Soit gentilhomme quand tu te déplaces sur tes échasses. L'Hibiscus est ton garde champêtre.

Miroir, ton reflet rubicond m'étonnera toujours... Sais tu qui est le plus fleuri? Et me répond pas que c'est l'hibiscus, il a déjà 4 étoiles au guide michelin! Dorénavant, mes mako-moulages seront exposés chez Laurent Romejko.

Le mausolée opératoire feint une gingivite décrépie et ronde comme une queue de pelle. Garenne.

Cheb mami? Aux dernières nouvelles il comparaissait pour usage altruiste de cintre épiscopale en diversion comanche. Assez peu d'info sur son matricule dans les fiches de rick hunter, a part que son gabarit mitoyen suggère 3 cervicales concaves. Apparemment, ses strophes lui valurent bon nombre d'essieu. L'hibiscus grenadine.

Allô! Ici lhibiscus, alias le cosmo végétal. J'vais vous conter la vie de larbrisseau oblique qu'est l'aubépine, une vie jalonnée de période sabbatique, ponctuée dimondices, guidé par le déluge. Avec son bâton de pèlerin, ses pérégrinations transalpine incite a le penser polochon, ou troglodyte. Mais, comme disais ma grand mère:
méfiez vous en comme de la berlue! Pied a l'étrier, puce a loreille, chat dans la gorge, ses compte d'apothicaire sous jacent sont les prémices d'un conciliabule galvaudé. Retranché dans ses faubourg, l'aubépine fomente quelques railleries décadentes, tout en suivant le fil d'Ariane. S'il se met a table, c'est que les moutons de panurges ont la puce a l'oreille. dans un pays de cocagne sur son 31, sa vie de patachon le perdra, bringuebalant une macédoine rythmée en
rang d'oignon. Un vrai gai luron, sempiternel fiscaliste, esprit revanchard. C'était un petit récit alambiqué, amical et pédestre, d'un garnement pétillant. Bien a vous. L'hibiscus cartilage.

La symphonie de la presbytie féodale éclos suivant 2 principes : les boursouflures de cire provoquées par les castors juniors a la dentition nacrée en Primo, en deuzio, les troglodyte diabétique et carencé en velux col v. Lhibiscus pandi panda.

Le vilebrequin détendu, j'assume une chiffonnade circonflexe sous couvert d'une nappe en Vichy. Un cruciforme farci, un spasmophile par là, je m'esclaffe a retardement et légifère sur le sort des phylactère d'outre tombe. Savez vous plantez les choux? L'hibiscus a propulsion
houblonné.

On va imaginer que tu te réincarne en bichon maltais, accepterais tu d'ingurgiter du canigou? On va imaginer que tu deviens randonneur dans les Pyrénées, accepterais tu d'escalader le mont canigou? Ces questions ont comme point commun un nom familier un peu bariolé,
néanmoins cesterce : CANIGOU, en l'épelant on se rend compte de l'hilarté que ça comporte, surtout dans la buanderie. A choisir entre un point culminant et une conserve de viande proteiné, l'esturgeon choisit l'alimentation car elle procure des amalgames avec la raie sur
le côté. Les morceaux d'abats peu affriolant n'ont rien a faire à Quimper me direz vous? Oui mais c'est haut de gamme. Hibiscus champomy.

Comment apprivoiser une carie capillaire? En jonchant le macadam de traversin épiscopal pardi ! Même Mathilde manie la mouture minablement, ses mimiques labiales équivoques mettent en péril la confection de choix du traversin prémolaire. Émission parlementaire.
Hibiscus goélette.

Branle bas de combat, les sex pistils entre en croisade lexicale contre l'infâme aubépine et son escorte: les chicago bulbe. Sortez vos champs lexicaux, vos figures de style, vos coclucutions et autres redingote brodé en fil de bravoure, vos boucliers agraires et votre vocabulaire lacrymogène. Tout est permis dans ce combat putride mais néanmoins non loyal, notre force de frappe puise sa motivation dans sa satiété de victoire... L'équipe adverse qui se situ du côté breton est composé du chèvrefeuille, du chou-fleur, de la patate, du fenouil et du brocoli, et bien évidemment de leur tête pensante : la susnommé l'aubépine! A vos textos !!!!!!!!!!!

L'expression du soir pour vous inspirer : interface optique est pas plus hybride qu'un centripète sur le credo du campus.

Tes tu déjà sentie souillée? Tes bas résille sente le saindoux, ta muqueuse utérine balbutie des ignominies digne d'un ménisque rouillé. Tes esgourdes latentes finiront bien par se convertir a
l'octet briochin.

Embourbé dans une tonsure fourni, ce chirac médite l'horlogerie pré colombienne. Les arts naïfs mêlent fox-trot et macadam, cintre et saindoux, parquet flottant et balancelle. Ça caracole en tête de gondole, ça ricoche dans la poche, ça déblatère dans les artères.

J'ai bâti une opercule en ragondin imberbe juste pour marquer mon territoire. Ton tour de poitrine frôle celui d'une russe anémique, ton champ lexical est caduque, ton érudition est basique, ta verve me rebute.

Si dans ton abdomen se dissolue une urine féconde, croque un tubercule, ton traversin deviendra poreux,de ta narine joufflue émanera un succédané d'arachide.

De 1 : rintintin est plus espiègle que ton tarin. De 2: ta la berlue? Ta confondu pull jacard et un panier d'oeufs. De 3: trépasses sous le poids d'ma dialectique dont tu rêvas.

Ta morve taciturne fait l'apologie grotesque de la circonvolution linéaire paraphraser par une horde de gnome déchaussé et picorant du maïs transgenique. Ton cuir chevelu est atteint de mycose fongicide.

Sauf votre respect, je men vais ratiboisée de la courtisane peu farouche. La cornemuse en alerte, la moustache a rebrousse-poil, le velux en suspension ainsi que le maroilles dans l'frigo, j'persevere dans l'astreinte. Six soirée sans simagrée susurré par sept superbe slaves
simulante suggère bien des jalousies.

En vert et contre tout, cet adage de daltonien a le mérite d'être acariâtre jouvenceau, d'être astigmate ovin, d'être telemetriquement oblique. Suspend ta verve après le goûter, et ne hais pas l'affirmative synoptique. L'alcool aidant, ma langue était délié, le café aidant ce matin, je continue de creuser. Armature d'hibiscus.

Si tout le monde sait que ton vélo gitane possède un dérailleur shimano 18 vitesses, peu peuvent se targuer d'avoir des ischio-jambier aussi frêle que ceux qui ingurgitent de la gelé royale par l'auriculaire. Sur tréteaux, j'abreuve de fromage mon bilan carbone et mon Pyrex trie le compost échevelé d'un mouvement circulaire et boisé. Si le grenelle de la botanique nous impose des engrais synthétiques, le soulèvement des fleurs prendra effet au stade du
roudourou. Brigade des mœurs. Dividendes étrangers. Thon catalane. Traite des blanches. Paris saint Germain. Sécurité sociale. Store vénitien. Barbapapa. Hibiscus krisprolls.

Quelques anachronismes...

J'espère que ton estocade ne sera pas l'antépénultième d'une suggestion romanichelle. Une myopie en silo, un billard usagé, un buisson fertile, voilà l'épingle en caoutchouc en chien de faience sur l'occiput de William Lemergy.

Tu te sens binomial? Tu te sens pédestre? Tu te sens agrandi? Ou amoindri? Les soupapes fiduciaires stigmatisent les abreuvoirs de la pinède enturbanée. Vitrail opaque, mon flow t'agrippe au cou, à ta luette.

Contre toute galéjade je ricane des substances mercantile mais néanmoins créationnistes. Alphabet et roblochon, car-en-sac et rédemption, napoléon et tube cathodique.

Le chou-fleur, l'incarnation d'une pâtisserie a la crème et d'un végétal tricoté en binôme pour le rire et le meilleur. Dans l'adversité mes adverbes cités abritent si t'es adjoint ciblé au
Havrais ciné vraiment dissipé sine qua none.

J'comprend que tu veuille me transmettre ta passion maladive pour powwow, mais j'te trouve un tantinet trivial sur les gourgandines...
Avoues moi ton penchant hétéroclite et tes armoiries trôneront dans la martingale de Danielle Evenou.

Siphonnant la grelotinne avariée, l'excédent agit en attestant l'assimilé cadre. Boursoufle ou annulaire? Valorise ton acné Baragouinant tendrement entre tige et bulbe, l'alexandrin virulent en symphonie abyssal résout le goitre acrimonieux des philistins.

L'édredon éperonné claironne une bonne mêlée de doryphore assermenté. La glycero génocide l'arsenal philanthrope du polymorphe mis en exergue.

Ne moleste pas trop d'esbrouffe en ce jour endimanché, mais on dirait que tu es manchot. Ne dénigre pas l'érudition, mais provoque un peu plus de comédon.

Mon scrotum est plus que ça, il est non seulement ambidextre, mais de plus il quantifie hebdomadairement les occlusions laissées par William Lemergy. Les velux s'incrémentent en quinconce.

C'est la chienlit, attrape ta besace et ton sacerdoce, ta guitare et tes bottes cuirassées, défenestre un lamantin pour absoudre tes péchés. Adules.

jeudi 27 août 2009

Même la classe politique s'y met!

bernard_couchner

Notre ministre des affaires étrangères parle, en son intime conviction, en des termes approuvés par le grand commandement des Végétaux. Que l'on soit clair, c'est le vocabulaire qui est approuvé et non l'action, le sujet, le fond, mais bien la forme. Notre diplomate au sac de riz a étalé devant les média français son amour du mot en suggérant des :
FARIBOLES !!!

déf : Propos frivole, vain et plaisant, baliverne, calembredaine, sornette.
Magnifique est la langue française.

jeudi 30 juillet 2009

Membre potentiel : Daniel Guichard


Quand j'ai ma nostalgie qui reprend le dessus :



Quand j'ai ma gitannerie qui prend le dessus :

vendredi 10 juillet 2009

Jeune Gaillard écoute Colette Renard

Ce site renferme toutes les palabres guillerettes que le flowbepine recherche. Laisse leur savoir que Colette Renard à une mise en marché putain de monstre, elle doivre.


http://membres.lycos.fr/isic/chants/renard.htm

jeudi 2 juillet 2009

L'élucubration du Cosmo Végétal

cosmosDu côté d'la voie lactée, je bondis de planète en astéroïde, avalant les années lumières comme si s'était des mètres. L'espace temps est mon living room, les macro sphères sont mes entrailles. Je puise mes forces dans l'irrégularité des trous noir, les anneaux de saturne sont mon houlaoupe. Le signe du zodiaque en v, j'esquive une pluie de météorite chafouine, je suis les secondes qui reculent, jesuis la super nova qui s'éteint, je suis la racine de l'hibiscus qui se meut dans une apesanteur, je suis le cosmo végétal.
Le cosmo végétal revient pour t'expliquer la relativité. Clopin-clopant, la matière et son inverse s'annulent, soit.
Mais si la non matière et son contraire se disloque, alors la masse intrinsèque équivaut à la somme des carrés. Aussi vrai que l'implémentation inhérente s'abrite derrière des théorèmes non-applicable.
Une nouvelle race de chlorophylle est née, celle qui supporte les voyages interstellaires, qui télécharge des plans de la grande ours dans le cyber espace, qui ont une loge V.I.P. à cap Canaveral, qui se nourrit de bière en poudre a bord d'un astronef soviétique, qui flirt avec la stratosphère, qui se confond avec le brillant des étoiles, qui big gang bang avec les étoiles filantes. L'hibiscus, ton héros, le cosmo végétal.
Le cosmo végétal ligature des trompes avec une clé anglaise.



sexe_fille_nymphomane_belle

L'Hibiscus pour l'Aubépine (SMS)

Allô! Ici l'hibiscus, alias le cosmo végétal. J'vais vous conter la vie de l'arbrisseau oblique qu'est l'aubépine, une vie jalonnée de période sabbatique, ponctuée d'imondices, guidé par le déluge. Avec son bâton de pèlerin, ses pérégrinations transalpine incite a le penser polochon, ou troglodyte. Mais, comme disais ma grand mère:
méfiez vous en comme de la berlue! Pied a l'étrier, puce a l'oreille, chat dans la gorge, ses compte d'apothicaire sous jacent sont les prémices d'un conciliabule galvaudé. Retranché dans ses faubourg, l'aubépine fomente quelques railleries décadentes, tout en suivant le fil d'ariane. S'il se met a table, c'est que les moutons de Panurges ont la puce a l'oreille. dans un pays de cocagne sur son 31, sa vie de patachon le perdra, bringuebalant une macédoine rythmée en
rang d'oignon. Un vrai gai luron, sempiternel fiscaliste, esprit revanchard. C'était un petit récit alambiqué, amical et pédestre, d'un garnement pétillant. Bien a vous.
L'hibiscus cartilage.

L'Aubépine, morceaux choisis.... (SMS)

J'aimerais, si tu me le permets, te narrer les mésaventures d'un brillant jeune homme dépourvue de bonne étoile : Jean-Luc Lahaie. Cadet d'une famille de 7 bambins albinos, il s'adonne au plaisir du trapèze dès sa sortie du jardin d'enfant, il arrive second lors d'un concours hippique à tendance moyen-ageuse et s'attache à une petite guimbarde de fortune qu'il obtient en vendant son âme. Acapulco 1989, il fricote pour la énième fois avec une sexagénaire mais constate qu'il nage en plein délire. Il décide de resserrer la cavité et se met à vouloir de la fillette. Jean-Luc écrit la son tube far 'ferme les yeux ouvre la bouche'. De cette poésie régie par les plaisirs du macramé en résulte ce que l'on a plus communément l'habitude d'appeler la taule. Il finit aujourd'hui ses jours, croupissant dans un enclos exigu en jouant au nénuco. Salle besogne.



Atypique, isocèle, insolent, arrogant, vertueux sur une démarche de cervidé avide de conifère subalpin, c'est bifidus sur l'auriculaire qu'il déboule directement sur paname. Issue d'un croisement asymétrique entre 1 macaque du Péloponnèse et un poulpe d'océanie, il circonfére dans sa bulle de sizzurp comme un nourrisson tète cruellement le sein pour s'abreuver de lait. On peut le retrouver sous sa forme quinocéenne : en chevalier de mathusalem, mi-roux, mi-biscuit, ou encore caché derrière 1 roseau à chaparder de la goyave à 1 jeune vétéran. Ce n'est pas du père fouettard mais bien de lil'wayne dont il s'agit



La mélanine d'amin s'abîme, une mise en abîme à la mine. ça fait 'bim' et s'anime dans ton dim si Mélanie met la mimine. Annie à Nîmes joue la mime, sabine en à même plein les babines si le Minotaure s'emmêle.


Affublé de la plus coquette paire d'espadrille et de socquette givenchou, j'enfile un fichtre fichu aux couleurs du Bangladesh, un monocle au verre fumer muni de son gros câble en alu brossé, un serre-tête classique, tu sais celui qui est diamanté, et me voici fin prêt pour la grande commémoration du jardin en fête. J'ai deux idéaux: Anne Roumanoff et le saucisson au bleu d'Auvergne. Louange

vendredi 26 juin 2009

Michael Jackson : Repose en Paix fils

lundi 22 juin 2009

Balivernes renardes : Fox the Fox

samedi 20 juin 2009

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec l'Anémone.

anémone
L'anémone insulaire susurre six cents sesterces savoureux et splendide. Singuila savoure, Cecile de Ménibus sautille. Si l'anémone plante des batavia batave, du celeri rave et subitement bave, c'est qu'elle pourvoit une certaine mixomatose labiale.



Wikipedia : Les anémones (genre Anemone du grec Άνεμος, vent) sont des plantes à fleurs de la famille des Renonculacées des zones tempérées des deux hémisphères. L’anémone ou « fleur du vent » doit son nom à ses graines plumeuses que le vent emporte à de grandes distances.

L'anémone, dans les enluminures du Moyen Âge, est le symbole de l'abandon.

Dans la mythologie grecque, Anémone est une nymphe dont s'éprend Zéphyr, dieu des vents. La femme de ce dernier, par jalousie, la transforma en fleur. Anemos, en grec, signifie "vent".


Bonus indispensable :

actrice_anémone


Il est fan, et ne lui en tenons pas rigueur, de Derek Hough. Le département célébrité du flowbepine a décidé de ne pas présenter ce personnage pour des raisons fabuleuses.

derek_hough

En toute amitié, je donne rendez-vous la semaine prochaine.
Monsieur la Main Verte.

vendredi 12 juin 2009

Nature 2.0


Si t'as toujours pas compris que le Flowbépine procure une mise en marché,
évertues toi à ouvrir tes mirettes et tes esgourdes.
Il se passe quelque chose de circonflexe, de tintamarre,
de révérencieux et polichinelle.

La nature adopte sa mutation flow, les écorces conduisent l'électricité,
les racines intègrent le wifi,
des escouades entières de feuilles caduques se connectent en un LAN
et les branches supportent un port USB :




Et ouais mec, on approuve tendrement ce genre de faciès, ce genre de t-shirt.
Quelconque palefrenier pédestre en pardessus.
Trois anicroches, surtout à gauche.


inquiètes toi pas


Merci pour cette phrase...

samedi 6 juin 2009

La cuvée des jonquilles


Inquiètes toi pas


samedi 30 mai 2009

Le pamphlet non larmoyant de l'Aubépine

Dissertation qualitative introverti ou récital absurde d'une existence épique : Déluré tellurique, j'épure et bifurque sans fêlure. Ulrich délire, attend l'déluge, ciel que ce mur est dur. J'veux du Saumur. Lefébur a l'don fémur, le ver à l'air j'veux bien l'faire nu. C'est biscornu, t'es qu'un corniaud, des corticoïdes et c'est l'coït sur la corniche. A l'aube c'est biscotte et corps velu, tu chorizo si corrida,d'accord dit Corti mais que si cocaïne et Annie Cordi m'excite. Cardio vendu, cordon tendu, cochon pendu, pignon sur rue. Si si j't'assure, si ça perdure c'est Pernaud qui fera la pub. C'est pas perdu, j'ai pas vu Pradel. J'mettrai pas d'Prada, c'est pas une mascarade. Dans ton marasme tu ajoutes du mascara, un vrai massacre. Tout ces mulâtre au trousse de moules à huîtres toussent moult molards, c'est la frousse folâtre de l'être au astre. Si tu mouftes on t'castre on s'en fout du cadastre, on t'carjack tu t'saouls au Jack, poule au pot, poil au patte, melting pot tu t'carapates. Enlèves cette carapace, t'as plus l'air d'une tortue que d'un tordu, t'es mordu d'art et d'rapace. J'suis vorace, t'es qu'un varech, t'entraves pas appuis sur rec, j'dévore c'est gore, ton écrin vaut cher, invoques pythagore, l'ewok mormon, il est mort né, l'lion t'mord, t'es basané, sale besogne assaisonnée , sans vergogne j'butte la cigogne si elle m'amène un borgne. L'flow m'passionne toute l'année, tu philanthropes, une troupe t'enfiles, un crew s'forme en dilettante, en dit long et t'fout des trempes, on laisse pas d'empreinte, ta crainte fais des traces, tu pus la pisse, tu sues d'la tise, tu mue sa suinte, ta froid ça pointe, les proies sur cintre, j'ai soif une pinte, tu t'coiffes c'est du crin, fais ouaf-ouaf terrine de chien, tu t'esclaffes mais t'as un sacré grouin, riz pilaf sur crouton d'pain, glouton nain, elle m'a dit goûtes mon sein, prout coin-coin, foute à rien. en synthèse d'ces quelques brimades, j'conçoit qu'tout n'est qu'algorithme. les rites funestes s'ajoutent comme des pierres à l'orifice, carpe et dilemme, câpre et diamant, carpe diem, carpette émotive. Une locomotive qu'il faut saisir a temps car elle passe rarement et il est souhaitable, n'prends qu'une passagère à la fois. Un méli-mélo pèle-mêle en tutti-frutti sur une mélodie de bali-balo change du train-train tagada tsouin tsouin. Vires ta cuti, tes cuticules, ta qu'un tic c'est l'cul, calcul, ça fait une libido d'chevreuil. Est tu prêt à tracé avec une lingette à quenotte garnie d'sang-sues du littoral. 

Sclérose utile,reptile tactile,prose à l'ostéoporose. Au réveillon d'ta ménopause, une légitime sécrétion lymphatique enraye l'processus. Il ne te reste qu'a moudre ce sortilège quinocéen. mot d'passe : crac-boum-hu. Chausses ta santiag, évolues sur une crinière sauvage, pur jus, récréation et p'ti délits, confinés dans un tuperware inoxydable, tuméfié par l'excès d'tapenade, entre terrier et paquebot cambodgien, les disciples stridulent encore, si subtile en choeur, les tonfas rutiles, c'est du jojoba qu'on distingue une fois distillé dans une paraffine bien nacré. Ecartelé entre 5 potirons, la manivelle frémissante sur sanctuaire mi figue mi colombe, narquois pas candide, narcotique candidat, c'est bénin, litige et apocalypse dans des draps d'satin, satyre sur l'échine, abnégation forcée, l'agrégation sauce corsée, grain d'riz dans l'colimateur, ça part en colimaçon, bucolique et maçonnique, cohu-bohu, pas ambigu, j'décortique, c'est lyrique, drastique, logique et anachronique, Monique, Soizik, tactique d'scélérat, céleri rémoulade, remues la batavia, ce fatras lourds et artificiel, rigueur picturale vogue sur soupe de bergamote. soupirail vétuste à l'horizon d'un vécu d'massico, guillotine d'un morceau d'papier vélin, bourreau ébouriffé, journée laborieuse d'un bolchevique attentif aux requêtes qui ornent la fuite d'l'espace temps, sidéral, souvent prépondérant. Si l'abstraction d'la surcharge pondérale diffère d'sa cadette, c'est haut et court sans pince à linge, l'ogive est ratifiée. Une palabre bien malléable s'aventure sur un fief attiraillé. J'te conseille d'arboré cette nuisance à l'aide d'un tracto-pelle et d'un appétit d'assembleur d'mosaïque. Dans ton dortoir d'lits superposés tu gesticules comme un légionnaire. Ta torsion t'rends convalescent, silence sur tes divergences nasales. L'omerta digne des vendangeurs du Dakota. Pierrot joue de la clarinette, Arlequin s'accapare du violon, Capucin semble jouer d'l'accordeon à droite et à gauche, Colombine pipe les dés, j'n'irai pas plaider pour Léondine. Ses pécadilles t'ébauches environ l'esquisse d'une léthargie frontale, plagia du septentrion, c'est galvaudé, c'est comme un vaudeville, ça vidange ta ventricule chaque fois qu'tu ignores l'articulation du cheminement sectaire. Une poignée d'mains, Un discours dithyrambique, une dichotomie au Lavandou et des bijoux italiens, un véritable étui à enjoliveurs, une scarification sous l'orteil, l'artère aorte récalcitrante, une redingote à chaque épaule, un kopeck pour redoré l'blason, les devises récitées comme une comptine aux louanges d'un chérubin atrophiée par l'évolution des coutumes, lapidée à la bonne heure, stérile en haut lieu, fermier dans un lieu-dit. C'est aberrant comme ce cadran affole la foule. Jardin d'eden au pomme bien farineuse, sermon inaliénable préconise et emmitoufle ce flageolet façon feu follet. Des petits condiments braisés pour parfaire sa ligne, au bout d'l'hameçon, un ver luisant qui m'tient à peu près ses inepties sur la théorie du paréo rafistolé à l'aide d'un pagne et de couenne de phacochère, si bien qu'j'en omis ma sidérurgie au pieds d'un conifère référencé comme archaïque cossu. C'est verrouillé, ce havre de paix s'résorbe, ta bonhomie légendaire transpire d'cet évangile rédigé de main de maître, cornemuse sur la nuque, Caïn en pole position du cortège fixe le principe d'l'esthétisme façon melba, avec une infime recette au melon. L'varan, lui, apprécie les bonbec acidulés par une liqueur d'mandarine dont la péremption ferait frémir le plus chaste des machiavel. Tu manipules un origami vétuste, l'ultraviolet de prestige te donne s'vertige passionnel dont tu n'peux t'accomoder. Ta vengeance s'engouffre dans un perpétuel hérésie, alliant l'aspartame au détritus, tu détruits tout, dort à terre, idolâtre même le malin. Ca foisonne mais c'est aussi capilleux, Vladimir est présompteux à l'égard d'une écorce neutre. L'cartable copieusement fourni, il débite les bastions, rigoureux, l'écharde sous l'ongle jaunie par l'bifidus, un tantinet dandi, l'escarpin verni au saindoux. Celui-ci n'aime personne, blême en somme, sème ça comme, Clément grâce à son gomme-cogne à oignons, féru de tocante antique réglé comme un fusée. Régie par le Hesbollah, abolit par Régine, égérie d'un lobby d"la tequila, dirigeant des tombolas congolaise, fortuit à bien des égards, aguicheur de mérou, il fuse et filtre l'moindre hologramme clinquant, fustige si venait à poindre l'arbre à came dont il rêve depuis qu'il sait dire Polini, opiniâtre quand il s'agit de polisher la titine, kit carrosserie Cosword, Zébulon en déclin, capuchon, la toge saillante, Sayen ou Seyar, tu vois pas fomblard? Un métronome sur l'front l'aiguille, Appolo Crid épilogue sur l'apologie du crime. Et la j'sens qu'tu t'grattes la calvitie, tu as soif, prends donc un peu d'lait d'chèvre, tu songes à une reconversion mais ce texte est trop convivial, tu envisages d'le lire à un proche. Accablé par l'molton, ta guimbarde dépasse d'ta gabardine. Ton gabarit d'Galabru t'empêches d'galopper. Gare au gorille. Imagine ce gros diabete s'métamorphose en Calamity Jane, essaye d'visionner la scène, Gonzague convie Mérédith au bal des putains, Macha l'sait mais fait l'autruche et s'dirige vers chez Salomé qui elle est déjà avec Bartholomé. Firmin occupe Sidonie en lui ramonant les conduits, mais omet qu'Jean Eude finit l'turf à pas d'heured. Suspens haletant, Théodul usurpe l'identité slave et platonique d'Archimède et l'tour est joué. Tout ce beau monde fornique o congres du masochiste :) c'est curatif, Eugène soutient sa tendinite, incognito c'est Pierre Bellemare qui est satisfait. 

Ce n'était qu'un hommage à Hervé Villard.

L'Aubépine

samedi 16 mai 2009

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec la Dionée alias la DieuDionée.


illustration :



En 2 temps, la DieuDionée vous alpague, vous roule en génoise et vous barbiturique de semelles marouflée. Son nom évocateur ne présage que du bon, même si le recouvrement erroné delivre l'opprobre.


Wikipedia : ""La Dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) est une plante carnivore, sans doute la plus connue et la plus emblématique. C'est une plante vivace herbacée de la famille des Droseraceae. C'est la seule espèce du genre Dionaea."

mercredi 6 mai 2009

C'est officiel




Si tu croises ce petit carré de papier recyclé coloré, ne le jettes pas dans le caniveau, gardes le dans ta poche, et le lendemain, avec quelques grammes d'alcool en moins tu pourras tapoter sur ton clavier funiculaire l'adresse 2.0 qui va bien.

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mardi 5 mai 2009

Les Inconnus : 5ème république



Les Inconnus : Simple comme bonjour.

mercredi 29 avril 2009

Et pendant ce temps là... Soulja Boy et les siens pratiquent la "BIRD WALK". (Le pas de l'oiseau)

Divers roublards nostalgiques tentent de communiquer par un langage cistercien peu connu dans nos contrées :

vendredi 24 avril 2009

Roi Heenok : La Poussière d'Ange




Le Roi Heenok / Poussière d'ange. Pub 2009

lundi 20 avril 2009

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec le Fenouil.


Illustration :


Pour comprendre le fenouil, il faut déjà montrer sa dextérité en typographie, effectivement, l'énergumène arbore, tel un culbutos, un arrière train digne d'une valérie damido exponentielle. De plus, sa chevelure inadéquate pour un climat entartré de mi-saison, évoque une arborescence de pygmalion.

Wikipedia : "un nom vernaculaire ambigu désignant en français une multitude de plantes de genres divers, notamment de la famille des Apiaceae. Ce sont des plantes herbacées au feuillage aromatique, dont certaines sont consommables."


En toute amitié, je donne rendez-vous la semaine prochaine.

Monsieur la Main Verte

mercredi 15 avril 2009

Membre potentiel : Boby Lapointe

L'Aubépine, morceaux choisis.... (SMS)

Scintillant de mille feux, la cornemuse pullule au frais du tavernier assoiffé.Il ingurgite un jus de carambole associé à un pamplemousse pressé. Les carnassiers font rage au carnaval de Seattle.

Le rossignol boréal a un flux réticulaire tandis que la brebis de près, d'un œil revanchard,revendique sa participation au rapido de la buvette de trois-puis.Crois tu que l'aztèque est docile?

Je mettrai volontiers un bémol a se discours sectaire et te conjure de descendre d'une octave. Narcisse quand a lui se met en sourdine et joue du pipeau chez les scouts. Préambule financier. Luc.

Les rouflaquettes du chérubin atteint de strabisme martyrise le bovin en périphérie. L'homéopathie s'applique en rapport homothétique transversalement sous prérogative a l'ensemble des mérovingiens. Flux.

J'te sens essoufflé, ma grammaire t'agrippe,ça t'gratte le groin,en groupe on t'agresse,t'es gras j'sui l'grizzly, tu graffes pas tu gribouilles, tu gravites dans les meme gratuité ,c'est pas grave j'suis grand, vas-y grappilles dans mes graines! si t'as du grabuge j'sors les griffes, tu finis en grumeau, j'y met d'la sauce aigre douce, t'as beau faire des grimaces, on s'en fout d'tes griefs.GRR.

dimanche 12 avril 2009

Accessoire et mode

Dans la série "Fashion Week 1996" voici le bracelet Pissenlit rose accompagné du rideau 70's transformé pour l'occasion en pagne par les frères Bogdanov.

Je t'aime un peu? beaucoup? passionnément? à la folie??


PAS DU TOUT????

LACH T COMS

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec le Pédoncule.


Illustration :

Wikipédia : "En botanique, on appelle pédoncule la pièce florale en forme de tige, parfois appelée queue, qui porte les fleurs, puis, après la fécondation, les fruits. Une fleur sans pédoncule, ou à pédoncule très court, est dite sessile."


En toute amitié, je donne rendez-vous la semaine prochaine.

Monsieur la Main Verte

samedi 11 avril 2009

Entre le Romarin et l'Hibiscus (SMS)

L'Hibiscus : Tu légifère sans grammage ni opercule, tu es abjecte sans tremplin ni gabarit, tu répercutes sans pasteurisation ni fiabilité, tu ressembles à Julien Lepers.
Le 25 février 2009 à 10:47

Le Romarin : Crédule tel l'otarie proéminente, j'exècre en gravillon sur l'attribue. Néoprène, le quantiolis rayonne sur l'édifice. Tu te targues d'une audace catalysée comme si tes mots se vidaient de pertinence. Evalues l'évolution
Le 25 février 2009 à 10:49

L'Hibiscus : J'crois que l'atlante plébiscite ton ménisque formaté, mais chez les périgourdins cellulaires, on s'accordent à palabrer sur tes abcès dentaires plutôt féconds. Astigmate sur ton nombril pendant que tu t'fais chaparder tes pastels. L'Hibiscus t'arrose.
Le 25 février 2009 à 11:04

Le Romarin : Tu balbuties et tes maigres quenottes fléchissent telle une tour italienne. Tagliatelles en aigre douce te donnes un retard facultatif. Ta discorde de farfadet semble allez de paire avec ton œil de bœuf. Que penses-tu de ton autisme d'arlequin ? Tes ribambelles adviennent sur un crépuscule frivole. Ta calvitie s'anime au rythme de ta conjonctivite galvanisé. Le Romarin en tempête d'brave Hibiscus.
Le 25 février 2009 à 11:21

L'Hibiscus : L'ongle jaune et l'auriculaire défraichi, le Romarin s'abreuve d'eau souillée. Son écosystème s'apparente à un marasme, un cloaque adjacent, un triangle isocèle. Ta tige fanée, dont les cucurbitacés n'osent plus guetter, décrépite comme Manaudou.
Le 25 février 2009 à 11:25

Le Romarin : L'avènement de tes prouesses reste fictive et obsolète. Tu t'expose à des camaraderies et franchi la herse comme un farfadet suspicieux. L'enclave rebondie sur ta lanterne comme si tes gerçures pullulaient d'abondance. Ton académisme plombe, ta démagogie s'accorde une vacation hostile.
L'Hibiscus : Comment un Romarin pré pubère s'accorde t-il tant de véhémence envers l'Hibiscus? Ce n'est pas demain que l'élève dépassera le maitre... tes élucubrations suspectes ne cacheront pas la misère de ton champ lexical. Ta confession n'absous point le tohu-bohu que tu tentes de faire passer. Gniafron pédestre contraint et presté alumine sur 3 pixels carré. Originalité est le maitre mot. Flux
Le 25 février 2009 à 12:18

Le Romarin : Mon jargon t'immerges dans l'marasme du marais poitevin. Ta virulence parsemée d'nostalgie occulte l'hédonisme dont tu fais foi. Nihiliste comme un tamarin, tu n'impressionnes que ton appareil fougace qui t'sers d'appel au secours. Usurpe et falsifie.
Le 25 février 2009 à 12:36

L'Hibiscus : L'amour du mot me pousse dans mes retranchements, Mais honni soit qui mal y pense! Toute vaine tentative sera occulté. Catalogue néon férié, timoré sur l'bitume, tu arbores un débardeur en crin d'hippocampe. Ménestrel perdu dans strophes, le romarin l'anachronie post-chromatique. J'ai cru en ton potentiel
Le 25 février 2009 à 12:37

Le Romarin : Ta rhétorique flirte avec la défaite. Tes flows sont féconds comme un bougre ménopausé. la chapelure parsemée sur ton vocabulaire couvre ta cleptomanie de mes strophes judaïstes. Ta dictature laxiste mènera ton potage vocable dans le mur de mon règne.
Le 25 février 2009 à 12:57

L'Hibiscus : Tu t'agrippes, mais tu fléchis sous le poids de ma dactylo. Prends des notes et médite la ponctuation savamment distillé. Une calzone pour la 7. A tire larigot je corrèle et annihile tes messes basses. Le flow m'appartient, j'ai posé mon véto.
Le 25 février 2009 à 15:31

Le Romarin : Ma dithyrambie occasionne des spasmes de tes mandibules synchro avec ton cervelet, qui laisse entrevoir une médiocrité de l'illettrisme. Devient mon fan en tapant dièse. Sais tu que des géorgiens habiles t'éduques?
Le 25 février 2009 à 21:55

L'Hibiscus : Arrêtes, j'deviens fanatique! Tes messages sont la panacée, ils détiennent une vérité sculpturale et pérenne. Ta sapience m'émeut surtout quand tu prend de l'immossel. L'esoterime divinatoire moustachu prévaut sur la vasectomie. participes en envoyant ton fascicule à Paris Concours.
Le 25 février 2009 à 21:55

Le Romarin : Ton lexique boursouflé aiguise ma répartie pendant qu't'esquisses une mou prénuptiale. Ta libido sent l'maroille et tu présides tes baies de genièvre sous martinet. Bravo maringo, chantes moi une contine gothique.
Le 26 février 2009 à 09:30

L'Hibiscus : Remue tes méninges et sers moi au moins un plat pas réchauffé. Tu t'entêtes totalement mais toutefois tes textes tintent tel des clandestins délateurs. Ta tête tuméfiée porte traces et stigmates pleine d'urbanité. Péninsule susurrée aux tympans, même ta calvitie à des caries.
Le 26 février 2009 à 10:26

lundi 6 avril 2009

Quand l'accoutrement frise l'insolence


Si Rihanna avait mis cette robe à fleur le jour où sa mâchoire a rencontré le poing de Chris Brown, c'est elle qui aurait pris le dessus sur cette tafiole de chanteur Rnb.

Elle lui aurait asséné une fricassé de phalanges, lui aurait flanqué une girouflette à 5 pétales au coin du pif, et lui aurait mis ses 5 marionnettes dans son théâtre.

La boisson officielle

Jérome Lebanner bourgeonne pour le Flowbépine

L'Aubépine pour le Cactus (SMS)

Rippes tes côtes, c'est légitime, et l'opercule se raréfie, c'est fédéral. Ou franc minima soit cordial, c'est la seule frivolité au pro-rabais. Pachyderme rehausse la tangente, triangule autour d'une presbytie loquasse et remouche l'gavalo d'une rétine, enquillant l'hermine sur l'attractive sorcellerie. Grotesque sur l'entrechat divin, j'déboule sur l'boulevard sur un shadock bleu nuit, kiter 75, Bidalo en echappement, vilbrequin alu brossé, poignée dans l'angle. Jargon d'antan, j'apprehande l'obstacle avec une paire d'espadrilles frivoles.

le 15 février 2009 à 2:59

Entre le Lichen et l'Hibiscus (SMS)

L'Hibiscus :
Gontran s'affole car l'estuaire prend de l'embonpoint. Diantre, les jeunes pousses rutilent et converge sous l'affluence d'un Donatien. Bien malvenu dans un monde vocable

le 2 février 2009 à 15:27


Le Lichen :
Que de futiles idées venant de la bouche béante de René, je m'attache que peu de fois à ce genre de cavalcade carambolesque mais distille toujours autant de tricot incongru aux abords de belles bicyclettes.

le 2 février 2009 à 15:36


L'Hibiscus :
Le Lichen a-t-il sa dose d'arthrite? ou doit-il insérer sa libido en ramequin? la rocaille le rnd messager de la mousson, l'Hibiscus te fane.

le 5 février 2009 à 16:06


Le Lichen :
Petite frappe, tu peux vilipander un tancarville se munissant d'un grill habillement soudoyé mais seul un petit groupe de chapardeur s'oppose à ces balivernes et que même pourvu de mitaines, se mesurer au Lichen difficile il est.

le 5 février 2009 à 17:06


L'Hibiscus :
J'crois qu'tu sous-estime la force de frappe de l'Hibiscus... alter-fifrelinmais néanmoins jovial, il s'accapare des mots et jugule toute tentative coercitive. Messe basse.

le 5 février 2009 à 121:18


Le Lichen :
Un dramaturge endosse une doctrine endolorie et vétue de son épitoge fait une entrave au frelon fortuit, seul un hippodrome hirsute dictera la suite.

le 6 février 2009 à 04:04


L'Hibiscus :
Approfondi ton immersion au sein de la sémantique et tu pourras légiférer sur le sort du tube cathodique. SI tes pétales frisent, c'est à cause de la fréquence modulatoire du cappuccino.

le 6 février 2009 à 14:18

Le Romarin pour l'Hibiscus (SMS)

Intrépide sur l'tarmac, l'ibuprofène contenu dans l'automate pré fendu révulse l'habitacle fraichement polishé. Un discours tropical forgé dans l'amnistie concorde avec l'emblème des mérovingien de cocagne.

le 24 février 2009 à 14:10

L'Hibiscus pour le Chou-Fleur (SMS)

Adepte du prosélytisme de la ritournelle, l'Hibiscus s'en va conter fleurette chez les jouvencelles Montbeliardes de l'archevêché en nougat. Profitons du tourne disque pour tenter d'approcher le houblon dans son terroir en aluminium, le malt ne s'engourdira pas.

le 29 mars 2009 à 17:06

samedi 4 avril 2009

Hibiscus renégat : L'eclosion

vendredi 3 avril 2009

Flow Acte 1


En cet Acte 1, nous intronisons en toute dépendance, en toute girouflette néanmoins caduque, une métonymie plus qu'abrupte.

Soyons bref, soyons en pédestre, l'Aubépine & l'Hibiscus circulent dans le 2.0 tel un édredon effiloché au firmament du funambule, feintant une frénésie adverbiale.