samedi 30 mai 2009

Le pamphlet non larmoyant de l'Aubépine

Dissertation qualitative introverti ou récital absurde d'une existence épique : Déluré tellurique, j'épure et bifurque sans fêlure. Ulrich délire, attend l'déluge, ciel que ce mur est dur. J'veux du Saumur. Lefébur a l'don fémur, le ver à l'air j'veux bien l'faire nu. C'est biscornu, t'es qu'un corniaud, des corticoïdes et c'est l'coït sur la corniche. A l'aube c'est biscotte et corps velu, tu chorizo si corrida,d'accord dit Corti mais que si cocaïne et Annie Cordi m'excite. Cardio vendu, cordon tendu, cochon pendu, pignon sur rue. Si si j't'assure, si ça perdure c'est Pernaud qui fera la pub. C'est pas perdu, j'ai pas vu Pradel. J'mettrai pas d'Prada, c'est pas une mascarade. Dans ton marasme tu ajoutes du mascara, un vrai massacre. Tout ces mulâtre au trousse de moules à huîtres toussent moult molards, c'est la frousse folâtre de l'être au astre. Si tu mouftes on t'castre on s'en fout du cadastre, on t'carjack tu t'saouls au Jack, poule au pot, poil au patte, melting pot tu t'carapates. Enlèves cette carapace, t'as plus l'air d'une tortue que d'un tordu, t'es mordu d'art et d'rapace. J'suis vorace, t'es qu'un varech, t'entraves pas appuis sur rec, j'dévore c'est gore, ton écrin vaut cher, invoques pythagore, l'ewok mormon, il est mort né, l'lion t'mord, t'es basané, sale besogne assaisonnée , sans vergogne j'butte la cigogne si elle m'amène un borgne. L'flow m'passionne toute l'année, tu philanthropes, une troupe t'enfiles, un crew s'forme en dilettante, en dit long et t'fout des trempes, on laisse pas d'empreinte, ta crainte fais des traces, tu pus la pisse, tu sues d'la tise, tu mue sa suinte, ta froid ça pointe, les proies sur cintre, j'ai soif une pinte, tu t'coiffes c'est du crin, fais ouaf-ouaf terrine de chien, tu t'esclaffes mais t'as un sacré grouin, riz pilaf sur crouton d'pain, glouton nain, elle m'a dit goûtes mon sein, prout coin-coin, foute à rien. en synthèse d'ces quelques brimades, j'conçoit qu'tout n'est qu'algorithme. les rites funestes s'ajoutent comme des pierres à l'orifice, carpe et dilemme, câpre et diamant, carpe diem, carpette émotive. Une locomotive qu'il faut saisir a temps car elle passe rarement et il est souhaitable, n'prends qu'une passagère à la fois. Un méli-mélo pèle-mêle en tutti-frutti sur une mélodie de bali-balo change du train-train tagada tsouin tsouin. Vires ta cuti, tes cuticules, ta qu'un tic c'est l'cul, calcul, ça fait une libido d'chevreuil. Est tu prêt à tracé avec une lingette à quenotte garnie d'sang-sues du littoral. 

Sclérose utile,reptile tactile,prose à l'ostéoporose. Au réveillon d'ta ménopause, une légitime sécrétion lymphatique enraye l'processus. Il ne te reste qu'a moudre ce sortilège quinocéen. mot d'passe : crac-boum-hu. Chausses ta santiag, évolues sur une crinière sauvage, pur jus, récréation et p'ti délits, confinés dans un tuperware inoxydable, tuméfié par l'excès d'tapenade, entre terrier et paquebot cambodgien, les disciples stridulent encore, si subtile en choeur, les tonfas rutiles, c'est du jojoba qu'on distingue une fois distillé dans une paraffine bien nacré. Ecartelé entre 5 potirons, la manivelle frémissante sur sanctuaire mi figue mi colombe, narquois pas candide, narcotique candidat, c'est bénin, litige et apocalypse dans des draps d'satin, satyre sur l'échine, abnégation forcée, l'agrégation sauce corsée, grain d'riz dans l'colimateur, ça part en colimaçon, bucolique et maçonnique, cohu-bohu, pas ambigu, j'décortique, c'est lyrique, drastique, logique et anachronique, Monique, Soizik, tactique d'scélérat, céleri rémoulade, remues la batavia, ce fatras lourds et artificiel, rigueur picturale vogue sur soupe de bergamote. soupirail vétuste à l'horizon d'un vécu d'massico, guillotine d'un morceau d'papier vélin, bourreau ébouriffé, journée laborieuse d'un bolchevique attentif aux requêtes qui ornent la fuite d'l'espace temps, sidéral, souvent prépondérant. Si l'abstraction d'la surcharge pondérale diffère d'sa cadette, c'est haut et court sans pince à linge, l'ogive est ratifiée. Une palabre bien malléable s'aventure sur un fief attiraillé. J'te conseille d'arboré cette nuisance à l'aide d'un tracto-pelle et d'un appétit d'assembleur d'mosaïque. Dans ton dortoir d'lits superposés tu gesticules comme un légionnaire. Ta torsion t'rends convalescent, silence sur tes divergences nasales. L'omerta digne des vendangeurs du Dakota. Pierrot joue de la clarinette, Arlequin s'accapare du violon, Capucin semble jouer d'l'accordeon à droite et à gauche, Colombine pipe les dés, j'n'irai pas plaider pour Léondine. Ses pécadilles t'ébauches environ l'esquisse d'une léthargie frontale, plagia du septentrion, c'est galvaudé, c'est comme un vaudeville, ça vidange ta ventricule chaque fois qu'tu ignores l'articulation du cheminement sectaire. Une poignée d'mains, Un discours dithyrambique, une dichotomie au Lavandou et des bijoux italiens, un véritable étui à enjoliveurs, une scarification sous l'orteil, l'artère aorte récalcitrante, une redingote à chaque épaule, un kopeck pour redoré l'blason, les devises récitées comme une comptine aux louanges d'un chérubin atrophiée par l'évolution des coutumes, lapidée à la bonne heure, stérile en haut lieu, fermier dans un lieu-dit. C'est aberrant comme ce cadran affole la foule. Jardin d'eden au pomme bien farineuse, sermon inaliénable préconise et emmitoufle ce flageolet façon feu follet. Des petits condiments braisés pour parfaire sa ligne, au bout d'l'hameçon, un ver luisant qui m'tient à peu près ses inepties sur la théorie du paréo rafistolé à l'aide d'un pagne et de couenne de phacochère, si bien qu'j'en omis ma sidérurgie au pieds d'un conifère référencé comme archaïque cossu. C'est verrouillé, ce havre de paix s'résorbe, ta bonhomie légendaire transpire d'cet évangile rédigé de main de maître, cornemuse sur la nuque, Caïn en pole position du cortège fixe le principe d'l'esthétisme façon melba, avec une infime recette au melon. L'varan, lui, apprécie les bonbec acidulés par une liqueur d'mandarine dont la péremption ferait frémir le plus chaste des machiavel. Tu manipules un origami vétuste, l'ultraviolet de prestige te donne s'vertige passionnel dont tu n'peux t'accomoder. Ta vengeance s'engouffre dans un perpétuel hérésie, alliant l'aspartame au détritus, tu détruits tout, dort à terre, idolâtre même le malin. Ca foisonne mais c'est aussi capilleux, Vladimir est présompteux à l'égard d'une écorce neutre. L'cartable copieusement fourni, il débite les bastions, rigoureux, l'écharde sous l'ongle jaunie par l'bifidus, un tantinet dandi, l'escarpin verni au saindoux. Celui-ci n'aime personne, blême en somme, sème ça comme, Clément grâce à son gomme-cogne à oignons, féru de tocante antique réglé comme un fusée. Régie par le Hesbollah, abolit par Régine, égérie d'un lobby d"la tequila, dirigeant des tombolas congolaise, fortuit à bien des égards, aguicheur de mérou, il fuse et filtre l'moindre hologramme clinquant, fustige si venait à poindre l'arbre à came dont il rêve depuis qu'il sait dire Polini, opiniâtre quand il s'agit de polisher la titine, kit carrosserie Cosword, Zébulon en déclin, capuchon, la toge saillante, Sayen ou Seyar, tu vois pas fomblard? Un métronome sur l'front l'aiguille, Appolo Crid épilogue sur l'apologie du crime. Et la j'sens qu'tu t'grattes la calvitie, tu as soif, prends donc un peu d'lait d'chèvre, tu songes à une reconversion mais ce texte est trop convivial, tu envisages d'le lire à un proche. Accablé par l'molton, ta guimbarde dépasse d'ta gabardine. Ton gabarit d'Galabru t'empêches d'galopper. Gare au gorille. Imagine ce gros diabete s'métamorphose en Calamity Jane, essaye d'visionner la scène, Gonzague convie Mérédith au bal des putains, Macha l'sait mais fait l'autruche et s'dirige vers chez Salomé qui elle est déjà avec Bartholomé. Firmin occupe Sidonie en lui ramonant les conduits, mais omet qu'Jean Eude finit l'turf à pas d'heured. Suspens haletant, Théodul usurpe l'identité slave et platonique d'Archimède et l'tour est joué. Tout ce beau monde fornique o congres du masochiste :) c'est curatif, Eugène soutient sa tendinite, incognito c'est Pierre Bellemare qui est satisfait. 

Ce n'était qu'un hommage à Hervé Villard.

L'Aubépine

samedi 16 mai 2009

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec la Dionée alias la DieuDionée.


illustration :



En 2 temps, la DieuDionée vous alpague, vous roule en génoise et vous barbiturique de semelles marouflée. Son nom évocateur ne présage que du bon, même si le recouvrement erroné delivre l'opprobre.


Wikipedia : ""La Dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) est une plante carnivore, sans doute la plus connue et la plus emblématique. C'est une plante vivace herbacée de la famille des Droseraceae. C'est la seule espèce du genre Dionaea."

mercredi 6 mai 2009

C'est officiel




Si tu croises ce petit carré de papier recyclé coloré, ne le jettes pas dans le caniveau, gardes le dans ta poche, et le lendemain, avec quelques grammes d'alcool en moins tu pourras tapoter sur ton clavier funiculaire l'adresse 2.0 qui va bien.

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mardi 5 mai 2009

Les Inconnus : 5ème république



Les Inconnus : Simple comme bonjour.