jeudi 28 octobre 2010

Un peu d'actualité en poésie



L'Aubépine : Ci Gi éTais
Lutter est utile, je l'ai lu.
Le lutin futile a-t-il vu que tout allait au talus?
Oui c'est de lui. Il a les outils, les fusils et un joli tutu.
Il apprécie les turlutes de la brun' contre quelques tulipes,
laitues et live sur la Une.
À l'extérieur, c'est lâché de tuiles, flaques d'huile,
course à la thune, trucs de fêlé style grand film,
hostilités, hôpital et tout le toutim.
Sacré Nico, là, ta plume fait la pluie,
moi je m'étale et ma tête est une taule
qui trinque à ta lune de miel au soleil.
O sole mio.
Le stylo est mon exil, il révèle ce lieu exigu.

L'Hibiscus : La révolution lucide?
Les hurluberlus de soixante-huit ulcérés
usent les C.R.S fatigués.
C'est une fugue des acquis,
une lutte réapprovisionné par les unions et les communiqués.
L'âge du cunni passera à soixante neuf,
le passage du relai du coté de Courtaboeuf.
Si par la lucarne tu découvres ton bonheur,
penses aux métallurgistes que leur honneur a fuit
entre les dividendes et les traders.
Du coté des financiers robustes,
les reins solides et pourfendeurs de rouste
à cout de saisies immobilière,
en avant le buste! ont fait grise mine,
les crayons de papier margent moins sinon,
produit par les asiatiques et les indiens.

mercredi 20 octobre 2010

Flowrdonnance



La fatigue se fait ressentir, la somnolence t'obnubile, lis un flow de l'aubépine.
Ses mots liquoreux, ses phrases acidulées,
son flow enivrant te feront goûter à la douce joie de la langue française.
Posologie : un matin et soir avec un grand verre d'eau au moment d'un festin festif.
Effets secondaires : ton vocabulaire, ton orthographe et ta syntaxe seront à jamais bouleversés. L'apothicaire antipathique mais pas pathétique. Hibiscus droguerie.