mardi 20 août 2013

Les controverses du Bambou

Je te prie, cher ami, de finir ton biscuit au brie et de te rendre utile en écoutant ces propos avec parcimonie.
Oui, c'est sur le trône que je dresse ces quelques vers libres, et en toute franchise, Platon m'en sera peu reconnaissant, j'y ai trouvé plus d'inspiration qu'au bord de la mer, sur le littoral italien ou dans la foie nervalienne.
La chouette se consume et ma plume se fait toujours tiède, mais ne cessera de briller ton ardant lionceau tant que tes mamelles évacueront mon lait bienfaiteur. Si les exégètes trouveront ici des ésotéries "roses" ou "XXX", c'est leur avis, quand à moi, je laisse ma muse corporel me guider.
 

Le Bambou, un tendre matin estival.

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