mercredi 29 avril 2009

Et pendant ce temps là... Soulja Boy et les siens pratiquent la "BIRD WALK". (Le pas de l'oiseau)

Divers roublards nostalgiques tentent de communiquer par un langage cistercien peu connu dans nos contrées :

vendredi 24 avril 2009

Roi Heenok : La Poussière d'Ange




Le Roi Heenok / Poussière d'ange. Pub 2009

lundi 20 avril 2009

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec le Fenouil.


Illustration :


Pour comprendre le fenouil, il faut déjà montrer sa dextérité en typographie, effectivement, l'énergumène arbore, tel un culbutos, un arrière train digne d'une valérie damido exponentielle. De plus, sa chevelure inadéquate pour un climat entartré de mi-saison, évoque une arborescence de pygmalion.

Wikipedia : "un nom vernaculaire ambigu désignant en français une multitude de plantes de genres divers, notamment de la famille des Apiaceae. Ce sont des plantes herbacées au feuillage aromatique, dont certaines sont consommables."


En toute amitié, je donne rendez-vous la semaine prochaine.

Monsieur la Main Verte

mercredi 15 avril 2009

Membre potentiel : Boby Lapointe

L'Aubépine, morceaux choisis.... (SMS)

Scintillant de mille feux, la cornemuse pullule au frais du tavernier assoiffé.Il ingurgite un jus de carambole associé à un pamplemousse pressé. Les carnassiers font rage au carnaval de Seattle.

Le rossignol boréal a un flux réticulaire tandis que la brebis de près, d'un œil revanchard,revendique sa participation au rapido de la buvette de trois-puis.Crois tu que l'aztèque est docile?

Je mettrai volontiers un bémol a se discours sectaire et te conjure de descendre d'une octave. Narcisse quand a lui se met en sourdine et joue du pipeau chez les scouts. Préambule financier. Luc.

Les rouflaquettes du chérubin atteint de strabisme martyrise le bovin en périphérie. L'homéopathie s'applique en rapport homothétique transversalement sous prérogative a l'ensemble des mérovingiens. Flux.

J'te sens essoufflé, ma grammaire t'agrippe,ça t'gratte le groin,en groupe on t'agresse,t'es gras j'sui l'grizzly, tu graffes pas tu gribouilles, tu gravites dans les meme gratuité ,c'est pas grave j'suis grand, vas-y grappilles dans mes graines! si t'as du grabuge j'sors les griffes, tu finis en grumeau, j'y met d'la sauce aigre douce, t'as beau faire des grimaces, on s'en fout d'tes griefs.GRR.

dimanche 12 avril 2009

Accessoire et mode

Dans la série "Fashion Week 1996" voici le bracelet Pissenlit rose accompagné du rideau 70's transformé pour l'occasion en pagne par les frères Bogdanov.

Je t'aime un peu? beaucoup? passionnément? à la folie??


PAS DU TOUT????

LACH T COMS

"Faisons connaissance"

Aujourd'hui faisons connaissance avec le Pédoncule.


Illustration :

Wikipédia : "En botanique, on appelle pédoncule la pièce florale en forme de tige, parfois appelée queue, qui porte les fleurs, puis, après la fécondation, les fruits. Une fleur sans pédoncule, ou à pédoncule très court, est dite sessile."


En toute amitié, je donne rendez-vous la semaine prochaine.

Monsieur la Main Verte

samedi 11 avril 2009

Entre le Romarin et l'Hibiscus (SMS)

L'Hibiscus : Tu légifère sans grammage ni opercule, tu es abjecte sans tremplin ni gabarit, tu répercutes sans pasteurisation ni fiabilité, tu ressembles à Julien Lepers.
Le 25 février 2009 à 10:47

Le Romarin : Crédule tel l'otarie proéminente, j'exècre en gravillon sur l'attribue. Néoprène, le quantiolis rayonne sur l'édifice. Tu te targues d'une audace catalysée comme si tes mots se vidaient de pertinence. Evalues l'évolution
Le 25 février 2009 à 10:49

L'Hibiscus : J'crois que l'atlante plébiscite ton ménisque formaté, mais chez les périgourdins cellulaires, on s'accordent à palabrer sur tes abcès dentaires plutôt féconds. Astigmate sur ton nombril pendant que tu t'fais chaparder tes pastels. L'Hibiscus t'arrose.
Le 25 février 2009 à 11:04

Le Romarin : Tu balbuties et tes maigres quenottes fléchissent telle une tour italienne. Tagliatelles en aigre douce te donnes un retard facultatif. Ta discorde de farfadet semble allez de paire avec ton œil de bœuf. Que penses-tu de ton autisme d'arlequin ? Tes ribambelles adviennent sur un crépuscule frivole. Ta calvitie s'anime au rythme de ta conjonctivite galvanisé. Le Romarin en tempête d'brave Hibiscus.
Le 25 février 2009 à 11:21

L'Hibiscus : L'ongle jaune et l'auriculaire défraichi, le Romarin s'abreuve d'eau souillée. Son écosystème s'apparente à un marasme, un cloaque adjacent, un triangle isocèle. Ta tige fanée, dont les cucurbitacés n'osent plus guetter, décrépite comme Manaudou.
Le 25 février 2009 à 11:25

Le Romarin : L'avènement de tes prouesses reste fictive et obsolète. Tu t'expose à des camaraderies et franchi la herse comme un farfadet suspicieux. L'enclave rebondie sur ta lanterne comme si tes gerçures pullulaient d'abondance. Ton académisme plombe, ta démagogie s'accorde une vacation hostile.
L'Hibiscus : Comment un Romarin pré pubère s'accorde t-il tant de véhémence envers l'Hibiscus? Ce n'est pas demain que l'élève dépassera le maitre... tes élucubrations suspectes ne cacheront pas la misère de ton champ lexical. Ta confession n'absous point le tohu-bohu que tu tentes de faire passer. Gniafron pédestre contraint et presté alumine sur 3 pixels carré. Originalité est le maitre mot. Flux
Le 25 février 2009 à 12:18

Le Romarin : Mon jargon t'immerges dans l'marasme du marais poitevin. Ta virulence parsemée d'nostalgie occulte l'hédonisme dont tu fais foi. Nihiliste comme un tamarin, tu n'impressionnes que ton appareil fougace qui t'sers d'appel au secours. Usurpe et falsifie.
Le 25 février 2009 à 12:36

L'Hibiscus : L'amour du mot me pousse dans mes retranchements, Mais honni soit qui mal y pense! Toute vaine tentative sera occulté. Catalogue néon férié, timoré sur l'bitume, tu arbores un débardeur en crin d'hippocampe. Ménestrel perdu dans strophes, le romarin l'anachronie post-chromatique. J'ai cru en ton potentiel
Le 25 février 2009 à 12:37

Le Romarin : Ta rhétorique flirte avec la défaite. Tes flows sont féconds comme un bougre ménopausé. la chapelure parsemée sur ton vocabulaire couvre ta cleptomanie de mes strophes judaïstes. Ta dictature laxiste mènera ton potage vocable dans le mur de mon règne.
Le 25 février 2009 à 12:57

L'Hibiscus : Tu t'agrippes, mais tu fléchis sous le poids de ma dactylo. Prends des notes et médite la ponctuation savamment distillé. Une calzone pour la 7. A tire larigot je corrèle et annihile tes messes basses. Le flow m'appartient, j'ai posé mon véto.
Le 25 février 2009 à 15:31

Le Romarin : Ma dithyrambie occasionne des spasmes de tes mandibules synchro avec ton cervelet, qui laisse entrevoir une médiocrité de l'illettrisme. Devient mon fan en tapant dièse. Sais tu que des géorgiens habiles t'éduques?
Le 25 février 2009 à 21:55

L'Hibiscus : Arrêtes, j'deviens fanatique! Tes messages sont la panacée, ils détiennent une vérité sculpturale et pérenne. Ta sapience m'émeut surtout quand tu prend de l'immossel. L'esoterime divinatoire moustachu prévaut sur la vasectomie. participes en envoyant ton fascicule à Paris Concours.
Le 25 février 2009 à 21:55

Le Romarin : Ton lexique boursouflé aiguise ma répartie pendant qu't'esquisses une mou prénuptiale. Ta libido sent l'maroille et tu présides tes baies de genièvre sous martinet. Bravo maringo, chantes moi une contine gothique.
Le 26 février 2009 à 09:30

L'Hibiscus : Remue tes méninges et sers moi au moins un plat pas réchauffé. Tu t'entêtes totalement mais toutefois tes textes tintent tel des clandestins délateurs. Ta tête tuméfiée porte traces et stigmates pleine d'urbanité. Péninsule susurrée aux tympans, même ta calvitie à des caries.
Le 26 février 2009 à 10:26

lundi 6 avril 2009

Quand l'accoutrement frise l'insolence


Si Rihanna avait mis cette robe à fleur le jour où sa mâchoire a rencontré le poing de Chris Brown, c'est elle qui aurait pris le dessus sur cette tafiole de chanteur Rnb.

Elle lui aurait asséné une fricassé de phalanges, lui aurait flanqué une girouflette à 5 pétales au coin du pif, et lui aurait mis ses 5 marionnettes dans son théâtre.

La boisson officielle

Jérome Lebanner bourgeonne pour le Flowbépine

L'Aubépine pour le Cactus (SMS)

Rippes tes côtes, c'est légitime, et l'opercule se raréfie, c'est fédéral. Ou franc minima soit cordial, c'est la seule frivolité au pro-rabais. Pachyderme rehausse la tangente, triangule autour d'une presbytie loquasse et remouche l'gavalo d'une rétine, enquillant l'hermine sur l'attractive sorcellerie. Grotesque sur l'entrechat divin, j'déboule sur l'boulevard sur un shadock bleu nuit, kiter 75, Bidalo en echappement, vilbrequin alu brossé, poignée dans l'angle. Jargon d'antan, j'apprehande l'obstacle avec une paire d'espadrilles frivoles.

le 15 février 2009 à 2:59

Entre le Lichen et l'Hibiscus (SMS)

L'Hibiscus :
Gontran s'affole car l'estuaire prend de l'embonpoint. Diantre, les jeunes pousses rutilent et converge sous l'affluence d'un Donatien. Bien malvenu dans un monde vocable

le 2 février 2009 à 15:27


Le Lichen :
Que de futiles idées venant de la bouche béante de René, je m'attache que peu de fois à ce genre de cavalcade carambolesque mais distille toujours autant de tricot incongru aux abords de belles bicyclettes.

le 2 février 2009 à 15:36


L'Hibiscus :
Le Lichen a-t-il sa dose d'arthrite? ou doit-il insérer sa libido en ramequin? la rocaille le rnd messager de la mousson, l'Hibiscus te fane.

le 5 février 2009 à 16:06


Le Lichen :
Petite frappe, tu peux vilipander un tancarville se munissant d'un grill habillement soudoyé mais seul un petit groupe de chapardeur s'oppose à ces balivernes et que même pourvu de mitaines, se mesurer au Lichen difficile il est.

le 5 février 2009 à 17:06


L'Hibiscus :
J'crois qu'tu sous-estime la force de frappe de l'Hibiscus... alter-fifrelinmais néanmoins jovial, il s'accapare des mots et jugule toute tentative coercitive. Messe basse.

le 5 février 2009 à 121:18


Le Lichen :
Un dramaturge endosse une doctrine endolorie et vétue de son épitoge fait une entrave au frelon fortuit, seul un hippodrome hirsute dictera la suite.

le 6 février 2009 à 04:04


L'Hibiscus :
Approfondi ton immersion au sein de la sémantique et tu pourras légiférer sur le sort du tube cathodique. SI tes pétales frisent, c'est à cause de la fréquence modulatoire du cappuccino.

le 6 février 2009 à 14:18

Le Romarin pour l'Hibiscus (SMS)

Intrépide sur l'tarmac, l'ibuprofène contenu dans l'automate pré fendu révulse l'habitacle fraichement polishé. Un discours tropical forgé dans l'amnistie concorde avec l'emblème des mérovingien de cocagne.

le 24 février 2009 à 14:10

L'Hibiscus pour le Chou-Fleur (SMS)

Adepte du prosélytisme de la ritournelle, l'Hibiscus s'en va conter fleurette chez les jouvencelles Montbeliardes de l'archevêché en nougat. Profitons du tourne disque pour tenter d'approcher le houblon dans son terroir en aluminium, le malt ne s'engourdira pas.

le 29 mars 2009 à 17:06

samedi 4 avril 2009

Hibiscus renégat : L'eclosion

vendredi 3 avril 2009

Flow Acte 1


En cet Acte 1, nous intronisons en toute dépendance, en toute girouflette néanmoins caduque, une métonymie plus qu'abrupte.

Soyons bref, soyons en pédestre, l'Aubépine & l'Hibiscus circulent dans le 2.0 tel un édredon effiloché au firmament du funambule, feintant une frénésie adverbiale.