samedi 11 avril 2009

Entre le Romarin et l'Hibiscus (SMS)

L'Hibiscus : Tu légifère sans grammage ni opercule, tu es abjecte sans tremplin ni gabarit, tu répercutes sans pasteurisation ni fiabilité, tu ressembles à Julien Lepers.
Le 25 février 2009 à 10:47

Le Romarin : Crédule tel l'otarie proéminente, j'exècre en gravillon sur l'attribue. Néoprène, le quantiolis rayonne sur l'édifice. Tu te targues d'une audace catalysée comme si tes mots se vidaient de pertinence. Evalues l'évolution
Le 25 février 2009 à 10:49

L'Hibiscus : J'crois que l'atlante plébiscite ton ménisque formaté, mais chez les périgourdins cellulaires, on s'accordent à palabrer sur tes abcès dentaires plutôt féconds. Astigmate sur ton nombril pendant que tu t'fais chaparder tes pastels. L'Hibiscus t'arrose.
Le 25 février 2009 à 11:04

Le Romarin : Tu balbuties et tes maigres quenottes fléchissent telle une tour italienne. Tagliatelles en aigre douce te donnes un retard facultatif. Ta discorde de farfadet semble allez de paire avec ton œil de bœuf. Que penses-tu de ton autisme d'arlequin ? Tes ribambelles adviennent sur un crépuscule frivole. Ta calvitie s'anime au rythme de ta conjonctivite galvanisé. Le Romarin en tempête d'brave Hibiscus.
Le 25 février 2009 à 11:21

L'Hibiscus : L'ongle jaune et l'auriculaire défraichi, le Romarin s'abreuve d'eau souillée. Son écosystème s'apparente à un marasme, un cloaque adjacent, un triangle isocèle. Ta tige fanée, dont les cucurbitacés n'osent plus guetter, décrépite comme Manaudou.
Le 25 février 2009 à 11:25

Le Romarin : L'avènement de tes prouesses reste fictive et obsolète. Tu t'expose à des camaraderies et franchi la herse comme un farfadet suspicieux. L'enclave rebondie sur ta lanterne comme si tes gerçures pullulaient d'abondance. Ton académisme plombe, ta démagogie s'accorde une vacation hostile.
L'Hibiscus : Comment un Romarin pré pubère s'accorde t-il tant de véhémence envers l'Hibiscus? Ce n'est pas demain que l'élève dépassera le maitre... tes élucubrations suspectes ne cacheront pas la misère de ton champ lexical. Ta confession n'absous point le tohu-bohu que tu tentes de faire passer. Gniafron pédestre contraint et presté alumine sur 3 pixels carré. Originalité est le maitre mot. Flux
Le 25 février 2009 à 12:18

Le Romarin : Mon jargon t'immerges dans l'marasme du marais poitevin. Ta virulence parsemée d'nostalgie occulte l'hédonisme dont tu fais foi. Nihiliste comme un tamarin, tu n'impressionnes que ton appareil fougace qui t'sers d'appel au secours. Usurpe et falsifie.
Le 25 février 2009 à 12:36

L'Hibiscus : L'amour du mot me pousse dans mes retranchements, Mais honni soit qui mal y pense! Toute vaine tentative sera occulté. Catalogue néon férié, timoré sur l'bitume, tu arbores un débardeur en crin d'hippocampe. Ménestrel perdu dans strophes, le romarin l'anachronie post-chromatique. J'ai cru en ton potentiel
Le 25 février 2009 à 12:37

Le Romarin : Ta rhétorique flirte avec la défaite. Tes flows sont féconds comme un bougre ménopausé. la chapelure parsemée sur ton vocabulaire couvre ta cleptomanie de mes strophes judaïstes. Ta dictature laxiste mènera ton potage vocable dans le mur de mon règne.
Le 25 février 2009 à 12:57

L'Hibiscus : Tu t'agrippes, mais tu fléchis sous le poids de ma dactylo. Prends des notes et médite la ponctuation savamment distillé. Une calzone pour la 7. A tire larigot je corrèle et annihile tes messes basses. Le flow m'appartient, j'ai posé mon véto.
Le 25 février 2009 à 15:31

Le Romarin : Ma dithyrambie occasionne des spasmes de tes mandibules synchro avec ton cervelet, qui laisse entrevoir une médiocrité de l'illettrisme. Devient mon fan en tapant dièse. Sais tu que des géorgiens habiles t'éduques?
Le 25 février 2009 à 21:55

L'Hibiscus : Arrêtes, j'deviens fanatique! Tes messages sont la panacée, ils détiennent une vérité sculpturale et pérenne. Ta sapience m'émeut surtout quand tu prend de l'immossel. L'esoterime divinatoire moustachu prévaut sur la vasectomie. participes en envoyant ton fascicule à Paris Concours.
Le 25 février 2009 à 21:55

Le Romarin : Ton lexique boursouflé aiguise ma répartie pendant qu't'esquisses une mou prénuptiale. Ta libido sent l'maroille et tu présides tes baies de genièvre sous martinet. Bravo maringo, chantes moi une contine gothique.
Le 26 février 2009 à 09:30

L'Hibiscus : Remue tes méninges et sers moi au moins un plat pas réchauffé. Tu t'entêtes totalement mais toutefois tes textes tintent tel des clandestins délateurs. Ta tête tuméfiée porte traces et stigmates pleine d'urbanité. Péninsule susurrée aux tympans, même ta calvitie à des caries.
Le 26 février 2009 à 10:26

1 commentaire:

  1. c'est serin et une histoire de fion semble emmergé sur le litoral.prenez vos précaution.ciseau mais pas jaloux.piperade de bergamote

    RépondreSupprimer