L'Hibiscus :
Gontran s'affole car l'estuaire prend de l'embonpoint. Diantre, les jeunes pousses rutilent et converge sous l'affluence d'un Donatien. Bien malvenu dans un monde vocable
le 2 février 2009 à 15:27
Le Lichen :
Que de futiles idées venant de la bouche béante de René, je m'attache que peu de fois à ce genre de cavalcade carambolesque mais distille toujours autant de tricot incongru aux abords de belles bicyclettes.
le 2 février 2009 à 15:36
L'Hibiscus :
Le Lichen a-t-il sa dose d'arthrite? ou doit-il insérer sa libido en ramequin? la rocaille le rnd messager de la mousson, l'Hibiscus te fane.
le 5 février 2009 à 16:06
Le Lichen :
Petite frappe, tu peux vilipander un tancarville se munissant d'un grill habillement soudoyé mais seul un petit groupe de chapardeur s'oppose à ces balivernes et que même pourvu de mitaines, se mesurer au Lichen difficile il est.
le 5 février 2009 à 17:06
L'Hibiscus :
J'crois qu'tu sous-estime la force de frappe de l'Hibiscus... alter-fifrelinmais néanmoins jovial, il s'accapare des mots et jugule toute tentative coercitive. Messe basse.
le 5 février 2009 à 121:18
Le Lichen :
Un dramaturge endosse une doctrine endolorie et vétue de son épitoge fait une entrave au frelon fortuit, seul un hippodrome hirsute dictera la suite.
le 6 février 2009 à 04:04
L'Hibiscus :
Approfondi ton immersion au sein de la sémantique et tu pourras légiférer sur le sort du tube cathodique. SI tes pétales frisent, c'est à cause de la fréquence modulatoire du cappuccino.
le 6 février 2009 à 14:18
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire