mercredi 13 avril 2011

Flowbepine / L'Agapanthe apaise (en apparence)

L'Agapanthe

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Tu pensais que ce n'était qu'un mythe, une fable, que l'on comptait ses crimes pour faire peur aux gamins turbulents ? Nenni, il est bien réel et nous le comptons parmi les pasteurs du Flowbepine. Ivanhoé ou l'Agapanthe pour les v.i.p., suggère une discrétion désopilante loin de toute perfidie à grand coup de tape amicale entre les omoplates. Renfrognant son verbe sur la virginité de parutions éco-responsables à connotations disciplinaires, notre végétal n'a qu'un seul mot d'ordre et en débat volontiers : l'Hamamelis et le Jojoba n'auront pas le monopole de l'esthétisme.
Surgissant de nulle part tel un astre au crépuscule d'un future fructueux, casque sur les oreilles, 3/5, Maturin écoute Indra. L'Agapanthe, importé gracieusement de Fère-en-Tardenois, est aussi un gros mangeur de moutarde. C'est d'ailleurs à Dijon que ce goulu à la toque blonde a fait ces classes en tant que trapéziste pour finalement postuler à "cache-cache", la célèbre boutique de prêt-à-porter du bassin malouin, où il exercera deux mois de bons et loyaux services.
Pour l'aborder je te suggère de faire comme si tu connaissais bien ce qui concerne le milieu équestre.
Deviens son tuteur et donne toi au [-]
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