jeudi 2 juillet 2009

L'Aubépine, morceaux choisis.... (SMS)

J'aimerais, si tu me le permets, te narrer les mésaventures d'un brillant jeune homme dépourvue de bonne étoile : Jean-Luc Lahaie. Cadet d'une famille de 7 bambins albinos, il s'adonne au plaisir du trapèze dès sa sortie du jardin d'enfant, il arrive second lors d'un concours hippique à tendance moyen-ageuse et s'attache à une petite guimbarde de fortune qu'il obtient en vendant son âme. Acapulco 1989, il fricote pour la énième fois avec une sexagénaire mais constate qu'il nage en plein délire. Il décide de resserrer la cavité et se met à vouloir de la fillette. Jean-Luc écrit la son tube far 'ferme les yeux ouvre la bouche'. De cette poésie régie par les plaisirs du macramé en résulte ce que l'on a plus communément l'habitude d'appeler la taule. Il finit aujourd'hui ses jours, croupissant dans un enclos exigu en jouant au nénuco. Salle besogne.



Atypique, isocèle, insolent, arrogant, vertueux sur une démarche de cervidé avide de conifère subalpin, c'est bifidus sur l'auriculaire qu'il déboule directement sur paname. Issue d'un croisement asymétrique entre 1 macaque du Péloponnèse et un poulpe d'océanie, il circonfére dans sa bulle de sizzurp comme un nourrisson tète cruellement le sein pour s'abreuver de lait. On peut le retrouver sous sa forme quinocéenne : en chevalier de mathusalem, mi-roux, mi-biscuit, ou encore caché derrière 1 roseau à chaparder de la goyave à 1 jeune vétéran. Ce n'est pas du père fouettard mais bien de lil'wayne dont il s'agit



La mélanine d'amin s'abîme, une mise en abîme à la mine. ça fait 'bim' et s'anime dans ton dim si Mélanie met la mimine. Annie à Nîmes joue la mime, sabine en à même plein les babines si le Minotaure s'emmêle.


Affublé de la plus coquette paire d'espadrille et de socquette givenchou, j'enfile un fichtre fichu aux couleurs du Bangladesh, un monocle au verre fumer muni de son gros câble en alu brossé, un serre-tête classique, tu sais celui qui est diamanté, et me voici fin prêt pour la grande commémoration du jardin en fête. J'ai deux idéaux: Anne Roumanoff et le saucisson au bleu d'Auvergne. Louange

1 commentaire:

  1. Heureux sont les jeunes singes qui lisent ce texte théâtrale, ne suis-je pas modeste ? Si l'Aubépine est ma foie loufoqoque, habituons nous au style, pour ma part presque somptueux, même près d'une magnificiance littéraire jusqu'alors inégalée, du Flowbépine.
    Agissons face au génocide du bon français, et remmettons en place tout cela avec humour et gaieté.

    RépondreSupprimer